Si vous voulez vraiment faire diminuer voire même éliminer la douleur tenace que vous ressentez, ne croyez pas tout ce que l’on vous dit…
Sachez qu’une industrie de plusieurs milliards d’euros n’a pas intérêt à ce que vous ne preniez plus d‘antalgiques, d’anti-douleurs, de cortisone ou autres produits aussi inutiles que dangereux.
Les chiffres sont éloquents, le soulagement de la douleur au dos échoue dans 8 cas sur 10 . Le mal au dos affectera plus de 80% de la population adulte, et ce, à différent stade et à différent moment de leur vie.
Un taux d’échec aussi élevé devrait nous faire réfléchir et questionner ce système basé sur le seul profit.
Des chiffres aussi effrayants sont la résultante de deux préjugées complètement faux mais bien ancrées dans notre culture.
Ces deux préjugés contribuent à la montée vertigineuse des cas de douleurs chroniques. Ils empêchent également, et surtout, de chercher les véritables causes de ces douleurs. La recherche actuelle vise uniquement à traiter les symptômes, une douleur – une pilule.
Le plus dramatique c’est que ces deux préjugés vous empêche de vous libérer de vos douleurs chroniques.
Alors, quelles sont ces préjugés, et surtout comment les contrer?
PRÉJUGÉ # 1
Les syndromes de douleur ordinaire
sont le résultat d’anomalies structurelles
Le mal de dos de même que les douleurs au cou, aux bras et aux jambes se multiplient à une vitesse folle. D’autre part, la lecture des statistiques confirme que cette tendance prendrait encore de l’ampleur. Année après année, l’industrie connait une augmentation galopante des arrêts de travail dus au mal de dos.
Un article du magazine Forbes publié en août 1986 rapportait que 56 milliards de dollars étaient dépensés chaque année pour pallier aux conséquences d’un mal devenu pandémique dans notre société.
Ce phénomène s’est développé au cours des 30-40 dernière années.
Pourquoi?
Après quelques millions d’années d’évolution, le dos de l’être humain moyen serait-il devenu si fragile?
Pourquoi tant de personnes souffrent-elles du mal de dos? Et pourquoi la médecine traditionnelle se montre-t-elle si impuissante à arrêter cette épidémie?
Comme toute épidémie, celle-ci est le résultat de l’échec de la médecine à reconnaître la nature de la maladie, c’est-à-dire à établir un diagnostic précis.
La peste a ravagé le monde car, à l’époque personne n’y connaissait rien en matière de bactériologie ou d’épidémiologie. Il est difficile de croire que la médecine du XXᵉ siècle, si hautement sophistiquée, ne peut, correctement identifier la cause de quelque chose d’aussi simple et de si commun que ces douleurs.
Ici, le préjugé qu’il est grand temps de démystifié est que les symptômes de douleur ordinaires ont le résultat d’anomalies structurelles de la colonne vertébrale induits chimiquement ou mécaniquement par des insuffisances musculaires.
En résumé, selon la médecine traditionnelle, toutes nos douleurs proviennent d’un problème physique.
Il est maintenant démontré que ce préjugé est complètement faux.
Le second préjugé est tout aussi dénué de sens.
PRÉJUGÉ # 2
Les émotions ne provoquent pas
de changement physiologiques
Des expériences faites aux États-Unis ces dernières années, contredisent ce second préjugé.
En médecine traditionnelle, les patients souffrant de douleur au cou, au dos et aux muscles fessiers doivent leur état de fait à une variété d’anomalies structurelles de la colonne vertébrale, à de l’arthrite, à une mauvaise posture, au manque d’exercices ou autres choses de ce genre.
Pour les douleurs aux jambes ou aux bras, un pincement des nerfs en serait la cause. Pourtant, comment ces anomalies arrivent à causer la douleur reste toujours flou.
Ces expériences de traitement sur les patients (ce sont vraiment des expériences) sont frustrantes et déprimantes, impossible de prévoir à l’avance le résultat.
Si ceci ne fonctionne pas, on essaiera cela.
D’autre part, il arrive souvent que la douleur ne corresponde pas avec l’anomalie structurelle. Par exemple, une personne a une hernie discale lombaire sur le côté gauche et la douleur ressentie est dans la jambe droite.
Des expériences répétées démontrent l’évidence que les muscles du cou, des épaules, du dos et des fessiers sont les premiers tissus concernés. En second lieu, les tendons et les nerfs sont également mis en cause.
Il est démontrés que les facteurs émotionnels sont responsables des douleurs dorsales ressenties par l’être humain. En résumé, un traitement physique traditionnel n’est pas logique et pratiquement inutile.
Cette découverte est une véritable révolution pour tous ceux et celles qui souffrent de douleurs chroniques.
L’expérience a montré que la seule manière de réussir de façon permanente à traiter ces douleurs, étaient d’enseigner aux patients à comprendre ce qu’ils ont et comment y faire face.
L’ennui, c’est que la très grande majorité, pour ne pas dire la totalité des médecins ignorent ce concept et tant qu’il ne sera pas validé par des expériences scientifiques à grande échelle (ce qui n’est pas demain la veille) aucun changement ne pourra s’opérer dans cette sacro-sainte médecine.
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